Beau concept transversal et trans générationnel que « Merci Maman » utilisé par Procter depuis quelques mois.
Des histoires chaleureuses, des tranches de vies quotidiennes magnifiées par le concept « Leur mère connaissait leur potentiel bien avant que le monde olympique les reconnaisse. »
Procter joue dans dans l’affectif avec des situations transposables à l’infini. Malgré la ficelle, on est pris par l’émotion….. Mais où sont les pères ?
Vrai bémol à cette super création , where’s Dad ? A bien y regarder, on s’interroge soudain sur l’aspect normatif de cette communication et sur la présence de la mère au foyer qui , sans aucun doute , a contribué ainsi à l’équilibre et à l’éducation des futurs champions.
A l’heure où Ogilvy fait une campagne forte de dénonciation du sexisme, cela serait bien sympa de mettre en scène les pères, et le concept fonctionne aussi pour Gilette, Tide, Old Spice…. Alors , vite, faites la version masculine!